Les routes touristiques en France

Actualité de la Route des vacances

  • L'Ardèche : une terre de soie, de vigne et châtaigne (07)

    L’Ardèche est une région accidentée avec des routes sinueuses, des vues lointaines et des villages médiévaux. C’est aussi une terre de végétation diversifiée. Il a de profondes forêts de moisi accrochées aux pentes rocheuses, des plaines plates d’oliviers et de vignes et les premières notes de la Garrigue plus au sud. Par endroits, ses gorges boisées et ses rivières semblent sauvages et indomptées et il est facile d’oublier que les “arbres dorés”, ont autrefois enflammé la terre. Les arbres dorés est le surnom des mûriers en raison de leurs couleurs éclatantes et de la richesse qu’ils ont apportée à la région.

    « Là où croît la vigne, là peut venir la soie », cet adage d’Olivier de Serres sou­ligne l’ancienneté de l’éducation des vers à soie, attestée en Ardèche au XVIe siècle. L’industrie du mou­linage de la soie a rapide­ment prospéré avec des entrepreneurs vision­naires tel le tandem Vaucanson-Deydier qui, dans les années 1750, profitant d’un programme d’amélioration de la production de la soie, crée à Aubenas une manufacture modèle. À son apogée au milieu du XIXe siècle, l’industrie de la soie et de la sériciculture ne laisse pas indifférents les botanistes ardéchois ou les marchands de graines (nom donné aux œufs de vers à soie) qui n’hésitent pas à s’établir en Orient pour sélectionner les meilleurs œufs.

    Des paysages majestueux en toute saison, un territoire travaillé par l’homme. Prairies naturelles, landes à genêts, forêts de pins et de châtaigniers, vallées de rivières sauvages et massifs cévenols vous offrent leurs plus belles couleurs tout au long des saisons. Le châtaignier recouvre les pentes de l’Ardèche depuis des temps immémoriaux et a façonné une civilisation autour de sa production. C’est l’élément familier du paysage et la mémoire des hommes. Lors de votre balade sur les routes touristiques de l'Ardèche, des trésors du petit patrimoine jalonnent  les parcours laissant ainsi deviner la vie des paysans d’autrefois, telles des calades, béalières, fontaines et culture en terrasses.

    Cette fameuse trilogie « soie, vigne et châtaigne » vous invite donc à la découverte d’une histoire singulière : celle des acteurs, des lieux, des événe­ments, mais aussi à la découverte d’un patrimoine qui retracent les faits et les actions, et qui soulignent l’esprit d’in­vention et d’innovation des Ardéchois.

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  • Histoire de l'Abbatiale de la Sainte-Trinité de Fécamp (76)

    Nichée au creux de la Vallée de Valmont, Fécamp est située dans le département de Seine-Maritime de la région Normandie. Au cœur de la Côte d’Albâtre et ses majestueuses falaises, Fécamp est une ville typique et dotée d’un riche patrimoine comme le célèbre Palais Bénédictine qui a propulsé sa renommée. Héritière d’un passé prestigieux, cette cité classée « Ville d’Art et d’Histoire » s’est développée autour de l'abbaye de la Trinité, construite dans l'enceinte du château des ducs de NormandieC'est à coup sûr l'architecture la plus remarquable du patrimoine fécampois. L"abbaye de la Trinité est membre de la Route Historique des Abbayes Normandes.

    Fecamp abbaye de la trinite routes touristiques de seine maritime guide du tourisme de haute normandieL'abbatiale de la Trinité de Fécamp est l'une des plus importantes églises de Normandie. Étonnante par ses volumes, d'abord par la taille : 127 mètres de long, autant que la cathédrale de Paris ; ensuite par les richesses qu'elle contient, notamment en ornementations Renaissance ; par le rayonnement culturel de l'abbaye sur toute la région ; enfin parce qu'elle a servi de référence à des dizaines d'églises normandes pendant plusieurs siècles. Ses imposantes dimensions s'expliquent par l'importance de l'abbaye, fondée par Richard II, duc de Normandie, et par le pèlerinage du Précieux-Sang du Christ, dont la relique est conservée dans l'église.

    Située au coeur de la cité médiévale qu'elle domine de sa haute Tour Lanterne, l'église abbatiale de la Sainte-Trinité donne d'abord une impression d'austérité, par ses longues murailles extérieures percées de petites fenêtres ogivales. Les arcs-voutants sont réduits à des arcatures sobres et massives ; ils reposent sur des contre-forts puissants qui rappellent une église fortifiée. La majestueuse église abbatiale de la Sainte-Trinité possède une nef du premier âge gothique et une tour-lanterne typique de l'architecture gothique normande avec quelques chapelles romanes. C'est aussi une nécropole ducale et un centre de pèlerinage du Précieux Sang. De l'ancienne abbaye bénédictine de la Trinité, il subsiste, avec l'église, une partie d'un dortoir, l'office, la salle capitulaire, monuments des XIIIe et XIVe siècles, occupés par diverses administrations, et des débris de l'enceinte romane.

    Vous voici parti pour un voyage dans le temps ! Calée entre les falaises dans une grande valleuse, Fécamp est idéalement située en Normandie à 60 km de Dieppe et de Rouen et à 40 km du Havre. Elle dispose d’une gare qui permet de rejoindre la ligne Paris Le Havre. Paris est à 2h30 en train comme en voiture de Fécamp.

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  • Histoire de Caudebec-en-Caux(76)

    Caudebec en caux ancienne fortification routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandieEntre Rouen et Le Havre, Caudebec-en-Caux est une petite ville située dans le département de Seine-Maritime de Normandie, sur une boucle de la Seine, elle fait partie du Parc Naturel Régional des Boucles de la Seine Normande. Depuis 2016 Caudebec-en-Caux fait partie de la commune appelée Rives-en-Seine, au même titre que Saint-Wandrille-Rançon et Villequier. Pour vous y rendre à partir du Havre suivre la A131, puis la D910 (36 km) ou depuis Rouen suivre la A150, puis A29 (68 km).

    Traversée par les rivières Sainte-Gertrude et l'Ambion, ancien village de pêcheurs, Caudebec-en-Caux conserve un attachement fort au fleuve. Les quais en bord de Seine offrent aux visiteurs une promenade des plus agréables en plein coeur de la ville surnommée à juste titre "la Perle du Val de Seine". Assise au bord de l’eau et fiancée avec le fleuve, Caudebec-en-Caux possède de riches sites historiques et autres musées comme le MuséoSeine, musée de la Marine qui est dédié aux traditions fluviales. Entre le patrimoine industriel de l’aéronautique à Caudebec-en-Caux, la vie autour de l’Abbaye pour Saint Wandrille-Rançon et le drame de la famille de Victor Hugo à Villequier, le fleuve, élément liant les trois communes historiques, a aussi donné une identité à ces lieux.

    Que l'on soit passionné d'Histoire ou même d'architecture, Caudebec-en-Caux a bien des choses à raconter. Voici une partie de son histoire : On trouve quelques monuments de l'époque gauloise à Caudebec, notamment sur la côte appelée le Calidu. Le musée de Rouen possède une hache en serpentine, des hachettes de bronze et des médailles celtiques en or, argent et bronze. Ces dernières proviennent du Mont-Calidu. Le terme de Calidu fait référence à un camp pré-romain désigné aujourd’hui par oppidum, lieu de retranchement, ceint de talus avec fossés secs à l’extérieur. Parfois, comme à Caudebec, le site offrait des défenses naturelles qui, ainsi, n’obligeaient pas à la construction de défenses artificielles sur certains côtés. Le Calidu désigne aujourd’hui l’ensemble du retranchement, soit 25 hectares.

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  • Différences entre une cathédrale, une basilique et une église ?

    Abbaye de la celle routes touristiques du var guide touristique de la provence alpes cote d azurLors de vos visites ou de vos balades sur nos routes touristiques, au détour des rues de nos villes et villages, comme sur les routes de nos campagnes, les monuments religieux de notre patrimoine sont nombreux. Il représente une forte part du patrimoine de manière générale. On estime les édifices religieux à environ 100 000, ils sont majoritairement catholiques mais pas seulement, on trouve aussi des temples et des synagogues, et dans une moindre mesure des mosquées. Ils retracent l’histoire spirituelle de notre pays. Sur ces 100 000 édifices religieux répartis sur le territoire, beaucoup sont des édifices privés comme des couvents, prieurés, anciens lieux hospitaliers, et près de la moitié (45 000) sont des édifices cultuels propriétés des communes et affectés au culte catholique dans le cadre de la loi de 1905.

    Du Mont-Saint-Michel à Notre-Dame de Paris en passant par Notre-Dame de la Garde, Vézelay ou Rocamadour, le patrimoine c’est d’abord des églises, des cathédrales et des sanctuaires. Le patrimoine religieux c’est aussi les objets précieusement conservés comme les calices, les chasubles, les vitraux, les livres et les orgues. Abbaye, église, cathédrale, basilique, au fil de nos pérégrinations dans nos villages et villes nous les croisons, les visitons, les fréquentons… et parfois nous entendons leur nom utilisé abusivement. Mais vous êtes-vous déjà posé la question de savoir ce qui les différencie ? Ou, plus simplement, connaissez-vous la différence entre une église, une chapelle, une abbatiale, une cathédrale et une basilique ?

    Et quel qu'en soit le nom, église, cathédrale ou basilique, le patrimoine religieux français est probablement l’une des plus grandes richesses du pays. Et pour cause, difficile de ne pas croiser au moins une église dans chaque village que nous traversons. Tous ces lieux enrichissent depuis des siècles notre patrimoine religieux.

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  • Histoire du château d'Eu (76)

    Entre la magnifique Baie de Somme et la Côte d’Albâtre, la ville d’Eu, située au cœur de la Vallée de la Bresle dans la Seine-Maritime, mérite plus qu’un simple détour. Eu fait partie des étapes incontournables le long de la Côte d’Albâtre. La ville normande, occupée dès l’époque gallo-romaine, a été au cœur de l’histoire du duché jusqu’à devenir une résidence royale au XIXe siècle. Connue pour le Château Louis-Philippe, la ville d’Eu a de longues et belles histoires à raconter. A deux pas du littoral, la cité d’Eu vous livre Eu le chateau louis philippe routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandiel’histoire de l’un des derniers domaines royal de France.

    Bâti au fond d'une valleuse, ce Château-Musée Louis Phillipe en briques rouges s'élève en surplomb de la Bresle, entre forêt et village. Depuis la disparition de la princesse d'Alcantara d'Orléans- Bragance, sa dernière occupante, le bâtiment accueille d'une part l'hôtel de ville d'Eu et, d'autre part, le musée Louis-Philippe. Au Moyen Âge, le château d'Eu (castrum Auga) primitif était un des éléments essentiels pour la défense du duché de Normandie sur sa frontière nord, face au comté de Flandre. Le château d'Eu est cité dès 925 dans les annales du clerc rémois Flodoard.  Vers 1050, Guillaume Busac, comte d'Eu, un cousin du duc de Normandie, Guillaume le Bâtard, tente de se révolter contre l'autorité du duc qui vint assiéger la place jusqu'à la reddition de la garnison. En 1050 ou 1051, c'est dans cette forteresse, que le duc Guillaume de Normandie aurait épousé Mathilde, une cousine éloignée, fille du puissant comte de Flandres, Baudouin, et petite-fille de Geoffroy, duc de Bretagne et d'Adenige, sœur de Richard II de Normandie, duc de Normandie.

    En 1475, Louis XI ayant appris que le comte d'Eu avait promis de livrer son château à Édouard IV, roi d'Angleterre, ordonne la destruction complète de la place, Eu est incendiée. Cinq ans après, en 1480, un modeste manoir est élevé par Jean de Bourgogne sur les ruines du vieux castel. Un siècle entier s'écoulera avant la construction d'un vaste et somptueux château.  Henri Ier de Lorraine dit « le Balafré » (1550-1588), duc de Guise, est à l’origine de la construction du château à plan en "U" en 1578, aidé en cela par son épouse Catherine de Clèves (1548-1633), dont la famille avait la possession du comté d’Eu. Cependant, une seule aile et la moitié du corps de logis central seront réalisées. Le château actuel n'est donc qu'une aile de la bâtisse prévue initialement.

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  • Parcours touristique à Eu (76)

    Eu chapelle du college des jesuites routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandieIdéalement située à 3 kilomètres de la mer et de la forêt, l'ancienne cité royale de Eu est située dans la vallée de la Bresle vers le nord-est du département de Seine-Maritime en région Haute-Normandie, à l'est du Tréport et à proximité de la frontière avec la Picardie. Eu fait partie des étapes incontournables sur la route de vos vacances le long de la Côte d’Albâtre. La ville normande, occupée dès l’époque gallo-romaine, a été au cœur de l’histoire du duché jusqu’à devenir une résidence royale au XIXe siècle. On ne compte plus les grands personnages historiques, de Rollon à Louis-Philippe (1773-1850), qui ont mis pied à terre dans ce coin de Normandie.

    A deux heures de Paris et de Lille, à la jonction de la verdoyante Haute-Normandie et de la magnifique Baie de Somme, Eu, cité royale entre verte campagne normande et lumineux rivages, vous charmera par sa richesse patrimoniale et par ses espaces de verdure. Eu mérite que l'on s’y attarde, ne serait-ce que pour admirer son magnifique château Renaissance, aménagé en son temps par Louis-Philippe qui en avait fait sa résidence d'été et qui y reçut deux fois la reine Victoria, à sa collégiale du XIIIe siècle dédiée à l'archevêque irlandais Saint-Laurent O'Toole et pour flâner dans ses ruelles. Si le nom de cette ville normande peut prêter à sourire et même à quelques jeux de mots, ne vous fiez pas à ces deux petites lettres qui protègent en son cœur un patrimoine exceptionnel, vieux de plusieurs siècles.

    Côté campagne, Eu vous donnera l'occasion de faire un grand bond dans le passé grâce à l'agglomération gallo-romaine de Briga. La forêt d’Eu est magnifique et mérite bien, un séjour d’un week-end ou plus. Entre histoire et escapade naturelle, voici un Parcours touristique à découvrir lors de votre séjour.

    Pour vous y rendre à partir de Paris (224 km) prendre l'A13 (E5) – Sortie N°22 direction Amiens – Calais puis A28 (E402)– Sortie N°5 Blangy sur Bresle. Prendre direction Gamaches – le Tréport. Depuis Amiens (87 km), suivre A16- sortie N°2 Abbeville Est – Le Tréport, puis prendre la D 925 Direction Eu – Le Tréport.

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  • Parcours touristique à Dieppe (76)

    Dieppe ville d art et d histoire maison miffant routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandieDieppe, surnommée "la ville aux quatre ports", est située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. Depuis de nombreux siècle, elle a épousé la mer et l’accueille dans son port historique. En plus de sa culture maritime, marquée par l’importation d’ivoire, et culinaire, avec ses recettes typiquement dieppoises, l’une des richesses de la ville réside dans son front de mer de 2 kilomètres de long. Dieppe est positionné à l'embouchure du fleuve côtier l'Arques, dont la profonde vallée sépare le plateau du Pays de Caux de celui du Petit-Caux. Dieppe est proche des villégiatures réputées de la Côte d'Albâtre, comme Varengeville-sur-Mer et Veules-les-Roses.

    Doyenne des stations balnéaires françaises et premier port de pêche pour la coquille Saint-Jacques, Dieppe cultive le charme et la douceur de vivre. En plus de sa culture maritime ancienne marquée, la cité n’est pas en reste côté architecture avec ses belles églises, son ancien quartier du Pollet, sa chapelle perchée et son imposant château qui semble encore défendre la cité. A la fois simple et dépaysante, Dieppe,  vous fera partager ses pépites culinaires et toute la richesse de son front de mer. Pour vous rendre Dieppe, la ville est desservie au sud par la RN 27 (2x2 voies) qui débouche à l’embranchement de l’A151 vers Rouen (58 km), de l’A29 vers Le Havre (114 km) ou le nord de la France et le grand nord-ouest européen via l’A 28. A 1h30 du Touquet et de Deauville par l'A28 et l’A29.

    Les plus anciennes attestations du nom de la ville de Dieppe remontent au XIe siècle : Deppae en 1015-1029, Dieppa en 1030, puis au XIIe siècle : Deppa, Deupa ou encore Diopa. Ce nom est emprunté à une appellation transitoire de la rivière qui se jette en ce lieu dans la Manche. Cette rivière appelée Tella dans les textes mérovingiens et carolingiens, est désignée Dieppe (Deppae 1015-1029) après l'installation de colons anglo-scandinaves, avant de prendre le nom de Béthune. La Béthune se jette dans l'Arques près d'Arques-la-Bataille.

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  • Histoire de Largentière (07)

    Largentiere cite medieval le chateau du taurier routes touristiques de l ardeche guide du tourisme rhone alpesSituée dans la vallée de la Ligne, en sud Ardèche à quelques kilomètres de Vallon-Pont-d’arcLargentière est située dans le département de l'Ardeche en région de l'Auvergne Rhône-Alpes. Village médiéval pittoresque, situé en Basse Cévenne ardéchoise Sud, entre le Bas Vivarais et les contreforts des Cévennes, cette cité médiévale doit son nom "argentaria" aux mines de plomb argentifères déjà exploitées par les Romains. Jusqu'au XIIIe siècle le lieu s'appelait "Ségualières"

    L'accueillante cité de Largentière forme un ensemble admirable, les pittoresques ruelles médiévales jalonnées de maisons anciennes bordant la rivière, l'hôtel de ville Renaissance, son palais de Justice et son château des Évêques, l'église gothique Notre-Dame-des-Pommiers du XIIIe siècle, et la porte des Récollets, vestige des anciens remparts, sont autant d'attraits architecturaux à admirer le temps d'une promenade. Ayant autrefois connu l’âge d’or, grâce à l’exploitation de mines de plomb argentifère, Largentière vous invite à découvrir lors d'une étape sur la route de vos vacances, son patrimoine, témoin d’un riche passé. Un peu d'histoire pour mieux comprendre le passé de Largentière.

    L'Ardèche est bordée par la vallée du Rhône sur sa façade est, qui a toujours été en contact avec les mouvements de ce grand axe de communication, même si ses montagnes ont présenté des contraintes. L'installation des hommes préhistoriques dans le département remonte environ à 150 000 ans ( voir les grottes moustériennes de Soyons). De nombreuses traces subsistent encore, notamment dans le sud du département avec la Grotte Chauvet, les dolmens et menhirs,...

    Durant l'Antiquité, le sud du département est occupé par le peuple gaulois des Helviens, une grande partie des Boutières (entre Eyrieux et Doux) serait du ressort des Segovellaunes, la partie septentrionale, au-delà du Doux, aux Allobroges. Rome fonde la cité d'Alba. Les Helviens commercent alors avec les Grecs et les marchands d'Orient. Alba est désertée pendant les invasions et l'évêque local s'installe au bord du Rhône près de son vivarium, site qui prend le nom de Viviers. Le traité de Verdun (843), qui partage l'empire carolingien, place le comté de Vivarais en Francia Media, domaine de Lothaire Ier à ne pas confondre avec la Lotharingie, future Lorraine, territoire de Lothaire II fils du précédent.

     

     

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