Richard Cœur de Lion Circuit 1
Votre itinéraire et visites sur le Circuit 1 de la Route touristique "Richard Cœur de Lion"
Le Limousin, région autonome et historiquement fort convoitée depuis l’Antiquité, renferme dans des paysages vallonnés et verdoyants un important patrimoine artistique et culturel, associé, à un riche passé militaire et religieux.
Cet itinéraire historique peut commencer au château de Rochebrune à Étagnac (km 0), située dans le département de la Charente. Le château de Rochebrune est situé à l'est d'Étagnac. Datant des premières croisades, Rochebrune était une ancienne place fortifiée stratégiquement située au carrefour des routes de Limoges, Angoulême et Niort.
La première tour fut édifiée par Jourdain 1er avant que celui-ci ne parte pour Jérusalem et n’y meure en 1099. Les trois autres tours n’apparurent qu’un siècle plus tard. Les murs de chacune d’elles, épais de deux mètres, sont percés de meurtrières dont les angles de vue cumulés ne laissent aucun angle mort aux défenseurs du lieu.
En 1561, à l’époque des guerres de religions, le château de Rochebrune échut à Blaise de Montesquiou dit Blaise de Montluc, Maréchal de France, catholique fervent et vaillant pourfendeur des protestants. Rochebrune, Chabanais et Confolens défendaient alors la région contre les protestants remontant du sud. L'intérieur possède un plafond peint daté de 1581 aux armes des Montluc et des Rochechouart.
A découvrir sur la commune d'Étagnac : la chapelle d'Étricor, un ancien prieuré grandmontain situé au bord de la Vienne. Au XIVe siècle, les moines de l'ordre de Grandmont, dont la maison mère était à Limoges, ont acquis le prieuré d'Étricor près de la Vienne et en ont fondé l'abbaye, dont il ne reste aujourd'hui que l'église.
Prendre la direction de Chassenon via les D193 et D160 (7,3 km) pour visiter les thermes gallo-romains les plus monumentaux de France. Le site de Cassinomagus présente des vestiges gallo-romains remarquables dans un écrin paysager de 15 hectares. Cassinomagus, nom antique de Chassenon, est un site à visiter seul ou en famille. Les thermes de Cassinomagus figurent parmi les monuments antiques les mieux conservés d'Europe !
A voir aussi à Chassenon l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste du XIVe siècle, construite en pierre de météorite comme les thermes. Après cette visite qui à de quoi ravir les amateurs d'archéologie... poursuivre en direction de Rochechouart par la D29 et la D54 (12,5 km).
La cité pittoresque anciennement fortifiée de Rochechouart possède un patrimoine bâti exceptionnel dont le château du Moyen Age construit sur un éperon rocheux de brèches météoritiques. Un évènement extraordinaire de l’histoire de la planète s’est produit sur la région de Rochechouart, il y a de cela … 200 millions d’années. Une météorite géante d’un kilomètre et demi de diamètre y a fini son voyage à 72000 km/h…
Depuis toujours l’homme a utilisé ces pierres uniques nées de la rencontre du ciel et de la Terre pour construire son habitat. Des gallo-romains dont les thermes de Chassenon sont dans un remarquable état de conservation, à l’église au clocher tors et au Château de Rochechouart, jusqu’aux maisons du XXème siècle.
Le nom de la ville est surtout rattaché à la famille des vicomtes de Rochechouart qui régna pendant plus de 800 ans. Elle avait ses attaches dans le château de Rochechouart, l'histoire du château commence vers l'an 1000 par la fortification par les vicomtes de Limoges. L'édifice actuel, bien que conservant des éléments du XIIIe siècle est presque en totalité du XVe siècle avec une restauration au XVIIIe siècle.
Il abrite depuis 1985 un musée départemental d'art contemporain. Outre une magnifique galerie aux colonnes torses et une charpente du XVe siècle, le château de Rochechouart a conservé sur ses murs un exceptionnel ensemble de fresques retraçant l'histoire d'Hercule : peintures murales en grisaille du XVIe et des scènes de chasse.
Flâner est le meilleur moyen pour découvrir Rochechouart, des tours aux anciens remparts, en passant par la fontaine du XVIe siècle et la maison des Consuls. Sans oublier l’église Saint Sauveur témoin exceptionnel pour l’étude de l’art roman du XI ème siècle, dans toute sa pureté et son austérité. L’abbaye de Charroux a créé, au IX ème siècle, à l’emplacement de l’église actuelle, un prieuré.
La flèche de forme hélicoïdale date de la fin du 18 ème siècle, lLes flèches de ce modèle sont rares. L’association des clochers tors d’Europe recense ce type de constructions. Continuez vers le pont gothique au pied du château jusqu'au site du Roc au Boeuf.
Continuez vers Les Salles-Lavauguyon par la D10 (28,1 km) située dans le Parc Naturel Périgord Limousin, connue pour son église Saint-Eutrope du XIIIe siècle, chef d’œuvre de l’art roman Limousin. Elle abrite certaines des plus remarquables fresques romanes de France. Cet édifice jouxte un petit prieuré médiéval également fort intéressant.
L'église fondée en l’an 1075 par les vicomtes Aymeric III de Rochechouart, devint le siège d’un important prieuré. Déjà célèbre par sa belle façade et sa longue nef montant par paliers successifs vers le chœur, la découverte en 1986, d’un ensemble exceptionnel de fresques du XIIème siècle, en a fait un lieu incontournable de visite.
Leur thématique, les scènes qu’elles représentent et leur qualité générale, la richesse des couleurs utilisées, les rendent uniques en Europe !
Le prieuré fut construit au XIIème siècle afin de subvenir aux besoins des chanoines, groupe de douze religieux. Le prieuré des Salles dépendait féodalement et religieusement depuis l’origine au chapitre de Saint-Junien. Alors que les chanoines de Saint-Junien étaient séculiers, ceux des Salles étaient réguliers, ce qui veut dire qu’ils étaient soumis à la règle monastique et qu’ils devaient résider dans leur prieuré.
Les Salles-Lavauguyon est entouré de nombreux hameaux dont beaucoup sont traversés par le circuit de dévotions, fresques et patrimoine (circuit d’environ 11 km). Vous pourrez y découvrir des richesses naturelles et historiques. Et à ne pas manquer : les ruines du château de Lavauguyon situé sur la commune de Maisonnais-sur-Tardoire via la D33 (32,2 km).
Le château de Lavauguyon au XIIème siècle appartenait à la famille de Malessac originaire du Poitou. Mis à sac par les mercenaires de Richard Cœur de Lion, il est reconstruit au XIVème siècle. Des fossés larges et profonds, que l'on pouvait vider et remplir à volonté entourent la forteresse. Le château de Lavauguyon situe la limite du Poitou et du Limousin, avait un rôle militaire important à jouer.
Poursuivre votre parcours vers Piégut-Pluviers par les D110 et D657 (47 km) où se trouve la tour de Piégut, donjon circulaire d'un château assiégé et détruit en 1199 par Richard Cœur de Lion.
Votre prochaine étape sur la route de Richard Cœur de Lion sera le château de Brie situé à Champagnac-la-Rivière via la D100 (67,5 km). Les de Brie, qui étaient des militaires, seraient arrivés de Dordogne vers 1250 sous le nom de Boschaud, devenant plus tard "Boschaud de Brie", ce nom venant probablement de la colonisation romaine du Limousin, où les terres étaient partagées entre les soldats.
La Guerre de 100 ans se termine vers 1453 et le château ou « maison forte » sera construit en 1484. La Maison Forte possède une large porte d'entrée ouvragée surmontée d'une inscription en latin : "Le château de Brie édifié en l'année du Seigneur 1484, dévasté en l'an 1793 et réparé en 1845 par Stéphane Bouland".
Ce château de Brie entièrement meublé, est une maison forte, style fin gothique flamboyant, début Renaissance. La partie la plus remarquable est un escalier en granit limousin de style gothique, se déployant dans le donjon carré. Il abrite un salon surprenant de 1890 au décor de stucs.
Entre la façade du château et la grille d'entrée du parc, se trouve une grange médiévale fortifiée antérieure à la "maison". C'est un bâtiment qui servait autrefois de lieu de garnison ou de refuge pour la population. Il est fortifié par deux échauguettes ou poivrières et 13 meurtrières.
Suivre la direction de Dournazac par la D213 (75 km) pour visiter le château de Montbrun. Le cheminement sur la routes permet de traverser des hameaux et villages anciens dont quelques bâtisses ont conservé leur authenticité au cœur d'un paysage vallonné, dédié depuis des siècles à la culture de la châtaigne.
Au nord-ouest du bourg, le château de Montbrun, exemple d'architecture fortifiée d'époque médiévale, vaut absolument le détour… Il fut édifié au XIIe siècle sur les bases d'une motte seigneuriale. Incendié au XVe siècle, il est reconstruit autour du donjon d'origine, de style roman, qui culmine à 45 m. C'est l'un des joyaux de la région avec sa cour intérieure, ses puits et pont-levis et les créneaux et mâchicoulis ornant les tours.
Il faut enfin mentionner le site du grand Puyconnieux, à proximité du château de Montbrun, qui culmine à 498 m. On y profite d'un panorama sans égal sur la campagne environnante et par beau temps, on aperçoit depuis ce balcon naturel les monts d'Auvergne. Des tables d'orientation ont été installées.
Dournazac fut également marquée par les conflits dont la guerre de Cent ans et les guerres de Religion. C'est justement le seigneur de Montbrun qui dirigeait en 1199 avec le chevalier Basile la garnison de Châlus lors du siège où Richard Cœur de Lion trouva la mort.
Une découverte du patrimoine bâti de Dournazac peut débuter par l'église Saint-Sulpice, édifiée dans un style roman au XIIe siècle. On remarquera que le clocher est recouvert de bardeaux de châtaigniers. A voir également, les ruines de l'abbaye de Thavaud, qui ne se releva jamais des dommages causés lors des guerres de Religion, et de nombreux éléments dits de petit patrimoine, jalonnant le territoire de la commune.
Prende à présent la direction de Châlus via la D6 (82,1 km). Le bourg de Châlus était composé de deux localités séparées par la Tardoire : Châlus-Bas, dans la vallée, à l'abri des fortifications du château de Châlus-Maulmont et Châlus-Haut, sur la hauteur autour du château de Châlus-Chabrol. La commune de Châlus est connue pour être le lieu où Richard Coeur de Lion fut mortellement blessé en 1199.
C'est au Moyen Âge, période au cours de laquelle Châlus connaîtra quatre sièges, que l'histoire locale est la plus riche, du fait de sa position stratégique entre le Limousin et l'Aquitaine et de la lutte pour le contrôle de ces territoires à laquelle se livrent alors les rois de France et les ducs d'Aquitaine, également rois d'Angleterre.
Sa position dans les monts de Châlus, au carrefour naturel de routes anciennes du Limousin, du Périgord et de la Charente limousine. Ce caractère de frontière a orienté un développement fondé sur les échanges, avec des foires au Moyen Âge, et une histoire agitée par les sièges de ses châteaux.
En 1193, Châlus connaît son premier siège. Le château, comme d'autres places limousines, est pris et pillé par des soldats brabançons, en guerre contre Sébrand Chabot, l'évêque de Limoges.
En 1199, lors du second siège de Châlus-Chabrol, mené par Mercadier, Richard Cœur de Lion est mortellement blessé par un carreau d'arbalète décoché par Pierre Basile. C'est un événement historique de premier plan pour la politique européenne, qui va permettre au capétien Philippe Auguste d'accroître considérablement le territoire du domaine royal.
Châlus connaît son troisième siège en 1265. Mené par Bozon de Bourdeilles, qui conteste à Adémar de Maulmont ses droits sur la place, il aboutit à l'occupation de Châlus par Bozon et à l'exécution d'Adémar de Maulmont.
En 1406, Châlus connaît son quatrième siège. Comme Brantôme, la ville est alors prise par des troupes françaises, conduites par Guillaume Le Bouteiller, en campagne contre les Anglais en Guyenne et au Limousin.
Le château fort de Châlus-Chabrol est érigé au XIe siècle, sur l'initiative des vicomtes de Limoges, afin de contrôler l'itinéraire de Limoges vers le Périgord, détournant ainsi la voie qui menait de Bourges à Bordeaux et passait alors par Lastours. Construit sur la rive droite de la Tardoire, sur un promontoire rocheux dominant le bourg de Châlus.
Son enceinte comprend les vestiges de Notre-Dame du Haut-Châlus, église des XIIe et XIIIe siècles où furent ensevelies les entrailles de Richard Cœur de Lion. Le corps de Richard sera inhumé à Fontevrault le 11 avril 1199, son coeur à Rouen.
Symbole de la résistance des Vicomtes de Limoges envers le royaume d'Angleterre au XIIe siècle, l'existence de ce lieu constamment fortifié est attestée depuis le VIe siècle. Cette forteresse de Châlus-Chabrol, propriété de Adhémar V de Limoges, est devenue célèbre par le fait de la blessure mortelle reçue par Richard Coeur de Lion le 26 mars 1199. Il décédera en ces lieux le 06 avril 1199.
Plus récent d'un siècle, le château de Châlus-Maulmont, construit par Géraud de Maulmont, lui fait face. En 1280, le fils d'Adémar, Géraud de Maulmont, chanoine de Limoges et chapelain du roi, récupère la terre et la juridiction de Châlus Chabrol qu'il reçoit en fief d'Arthur II de Bretagne et de Marie de Limoges.
En 1994, la tour du château de Châlus-Maulmont s'effondre partiellement. La même année, le château de Châlus Chabrol quitte le patrimoine familial des Bourbon-Châlus, qui le détenaient depuis 1530. Un petit musée est établi à proximité du château de Châlus-Maulmont. Une belle fenêtre ogivale est à voir, sur un pan de mur de l'ancien corps de logis.
Votre périple sur cette route historique, vous emmènera aux Cars par la D15 (91,3 km). Le bourg est complètement lié à l’histoire du château, la marque du XVIe y est apparente dans des éléments épars : montants de fenêtre, fragments de porte, éléments de cheminée. La maison qui jouxte le chevet de l’église porte un linteau daté 1606.
Un peu plus loin c’est une maison du XVIe avec fenêtres Renaissance, puis une maison à tourelle, et un très grand ensemble Renaissance, la maison Lapisse. L'église d’origine médiévale des Cars est un assemblage d'architectures d'époques différentes.
La maison forte des XIIIe et XIVe siècles fut transformée dans le premier tiers du XVIe siècle par Geoffroy de Pérusse qui fréquentait les cours royales. Les ruines du château des Cars présente un profil singulier sur ce territoire. Les découvertes archéologiques révèlent le faste du site durant la Renaissance alors que les ruines montrent l'adaptation de l'architecture à l'utilisation des armes à feu lors des guerres de religion.
Aujourd’hui, le château des Cars est la propriété de la commune qui tente, avec l’aide d’une association d’archéologues, de mettre ses ruines en valeur. Des fouilles archéologiques ont révélé, dans les années 1990 et 2000, un mobilier particulièrement riche.
De la vaisselle précieuse, des objets de verre et de métal, ainsi que de nombreuses sculptures et bas reliefs ont été retrouvés. Ils sont visibles dans une salle d’exposition sur place, qui complète la visite du château.
Sur la commune de Rilhac-Lastours via la D15 (95,9 km), vous aurez l'occasion de visiter les ruines du château de Lastours. Les vestiges de la forteresse imposante n'a rien perdu de sa grandeur passée.
Le château de Lastours, témoin d'une histoire longue de près de 700 ans, mottes féodales du Xème au XIIIème siècle, château fort du XIIIéme au XVIème siècle, doté d'un donjon de type roman, de fossés, de courtines, de tours, haute-cour et de salles basses, vous invitent à le visiter et à participer aux animations et fêtes médiévales.
Le château de Lastours est placé sur une position stratégique, entre Limousin et Périgord. A partir du Xe siècle, les terres appartiennent à l'illustre famille de Lastours, qui y fait construire trois mottes castrales. Plus tard, un donjon roman est construit, et du XIVe au XVIe siècles, la bâtisse évolua pour prendre la forme qu'on lui connait.
Néanmoins, après la Révolution, le château servira de carrière de pierres. Au XVIIe siècle, des canonnières furent ajoutés sur les tours.
Continuez vers Nexon via la D15 (105,8 km), Villes-portes du Parc Naturel Régional Périgord-Limousin. Nexon est située au bord de la grande voie antique qui reliait, au long du premier millénaire, Bourges à Bordeaux. L'histoire de Nexon est rattachée à celle des Lastours, premiers barons du Limousin et seigneurs de Nexon, Hautefort et Pompadour.
Nexon se concentre autour de l’église et des reliques de Saint Ferréol ainsi que du château qui abrite dans son parc le chapiteau du Pôle National des Arts du Cirque. Le château de Nexon fait partie des sites incontournables, de part la richesse de son histoire, et des traces de son passé équestre. Construit au XVIIe siècle, il restera propriété de la famille du même nom jusqu'en 1983, date à laquelle la municipalité en fera l'acquisition.
L'église des XIIe et XVe siècles, en accès libre, porte des vestiges de fortifications tels que le clocher en pierre et la bretêche. A l'intérieur, on peut admirer le buste reliquaire de Saint Ferréol du XVIesiècle ainsi qu'une châsse en cuivre émaillé du XIIIe siècle. Mais Nexon c’est aussi un patrimoine naturel remarquable avec notamment le "Jardin des Sens, passerelle entre les générations". Une visite qui réveillera tous vos sens.
Poursuivre en direction de Ladignac-le-Long par la D11 (119,7 km), le village vous invite à découvrir ses trésors naturels et architecturaux. Au cœur du village, 'église romane du XIIe siècle, au plus pur style limousin, possède un clocher octogonal et un portail polylobé de pur style limousin avec des colonnettes en serpentine (pierre locale). A découvrir aussi le Château du XVIIè siècle et les grandes allées des Terrasses.
A Ladignac se trouve une colline portant le nom de Camp de César, au sommet de laquelle on relève de nombreuses excavations. Il s’agit là soit d’un ancien village gaulois, soit des restes d’aurières, les mineurs des premiers siècles de notre ère cherchant l’or en ces lieux.
Fin de cette première étape de cette route touristique "Richard Coeur de Lion" (119,7 km).
Poursuivez ce parcours touristique en suivant : itinéraire du circuit 2 entre Ladignac-le-Long et Etagnac.
Pour vous rendre sur la route touristique "Richard Cœur de Lion"
Étagnac
6 °C Couvert
Min: 6 °C | Max: 6 °C | Vent: 8 kmh 109°
Le saviez-vous ?
- Itinéraire du circuit 1 entre Etagnac et Ladignac-le-Long
- itinéraire du circuit 2 entre Ladignac-le-Long et Etagnac
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
- La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
- Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
- L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots !
Nos coups de coeur sur la route touristique "Richard Cœur de Lion"
Hébergement :
Gîtes des Ribières
A 200 mètres du bourg, dans un parc boisé et fleuri, les 9 chalets et 7 maisonnettes sont accessibles toute l’année, en famille ou en groupe, associations et professionnels.
Situé dans le Parc naturel régional Périgord-Limousin, ce hameau de 16 gîtes dispose de l'Ecolabel européen. Les chalets ne sont pas très grands pour les 5-7 personnes qu'ils sont censés accueillir (39 m2), mais c'est un très bon rapport qualité/prix
ôté équipements : piscine d'été, terrain de basket, courts de tennis, étang de pêche, jeux pour enfants et parcours santé... A quoi s'ajoutent des animations pendant la période estivale et la proximité avec l'Espace Hermeline (8 km).
Plus d'information : Hameau de Gîtes des Ribières - Mairie - Les Ribières - Tél. 05 55 36 90 22 - 87230 Les Cars - Site web
Restauration :
Les routes touristique de la Charente
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Date de dernière mise à jour : 10/07/2021
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