Les routes touristiques en France

Château de Martainville (Musée des Traditions et Arts Normands-76)

Le Château de Martainville : musée des Traditions et Arts normands !

À 15 km à l'est de RouenMartainville-Épreville est située dans le département de la Seine-Maritime en région NormandieLa localité est composée de deux pôles : le village de Martainville au nord et celui d'Épreville, au sud. C'est véritablement son châteaudemeure de la fin du XVe siècle qui fait la renommée de la commune. Il accueille en effet, dans son superbe bâtiment, le musée des arts et traditions normands et ses quelque 15 000 œuvres exposées : collections de mobilier, costumes, objets de la vie quotidienne… 

Pour vous y rendre à partir de Rouen suivre la N31 (17 km) ou depuis Evreux suivre la D13 (62 km). La route traverse une belle campagne fertile avec ses paysages verdoyants et en partie bocagers.

La commune de Martainville-Epreville est issue de la fusion de deux communes : Epreville/Ry et Martainville/Ry. Le nom de la localité de Martainville est attesté sous la forme latinisée Martinvillam en 1053, Martini Villa en 1163Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en ville au sens ancien de domaine rural ; terme issu du gallo-roman villa « grand domaine rural », précédé du nom de personne Martin, peu employé dans la toponymie normandeÉpreville est mentionnée sous la forme Spriville en 1055 - 1066 et Espreville vers 1240Les 2 communes ont été réunies par ordonnance du roi Louis XVIII pour former la commune d'Epreville-Martainville qui deviendra Epreville-Martainville/Ry, puis Martainville-Epreville.

Préparer votre visite touristique au château de Martainville

Le quart de fief de Haubert, nommé en 1291 fief de Richard de la Court, prit par la suite le nom de Martainville. Ce quart de fief dépendait de la baronnie de Périers sur Andelle qui appartenait elle-même à l'abbaye de Saint-Ouen de Rouen. Au début du XVe siècle, le domaine était occupé par la famille Le Pelletier, commerçants enrichis, originaires de Provence. Richard Le Pelletier était possesseur de vastes domaines, notamment sur le plateau de Caux. En l'an 1450, il recouvra sa terre qui avait été aux mains des Anglais durant 32 ans. Il nourrissait l'ambition de se faire anoblir, ce qu'il obtint en 1471, moins d'un an après la promulgation des Francs-fiafs par Louis XI.

Martainville chateau de martainville porte routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandieC'est son second fils, Jacques, échevin de la ville de Rouen, armateur et grand propriétaire foncier, qui acquit peu après 1481 le fief de Martainville de la vieille famille des Floques. En 1486, il est connu comme seigneur de Martainville, mais ne porte pas le nom de la terre. Ce n'est qu'un siècle plus tard que Richard Le Pelletier, seigneur de Martainville, et Charles Le Pelletier, son neveu, seigneur d'Estouteville, furent autorisés par lettres royales accordées par Charles IX le 6 avril 1571 à changer le nom de Le Pelletier en celui de Martainville qu'ils transmirent à leurs descendants. Richard acquit la charge de notaire et secrétaire du Roi, puis celle de correcteur en la chambre des comptes.

C'est en 1482 que s'opère un tournant dans l'histoire de la future commune quand Jacques Le Pelletier, fils de l'une des plus riches familles de la grande bourgeoisie rouennaise et lui-même grand armateur et marchand, acquiert la seigneurie de Martainville. Déjà propriétaire d'un hôtel particulier à Rouen où il occupe bientôt la fonction de conseiller-échevin, il fait bâtir un château à Martainville durant la régence d'Anne de Beaujeu, la sœur aînée du futur Charles VIII. La Renaissance n'a pas encore fait son apparition en France. La date de 1485 gravée sur la clef d'une fenêtre de la tour sud-est ne précise pas la date de la construction mais celle du premier aveu rendu par un Le Pelletier au suzerain dont dépendait le fief de Martainville, l'abbaye Saint-Ouen de Rouen.

Les données historiques invitent à voir une campagne de remaniement opérée par Jacques Le Pelletier lui-même. En effet, un événement majeur semble s’être produit dans sa vie autour de 1500 : Richard Le Pelletier, son frère cadet, meurt en 1499, et Jacques, qui hérite de tous ses biens, décide d'arrêter définitivement les activités marchandes de la famille. C'est sans doute à ce moment que Jacques décide de transformer sa demeure campagnarde « en forme de château ».

En 1510, le neveu de Jacques Le Pelletier décide de mettre le château féodal au goût du jour en détruisant le premier mur d'enceinte trop proche du château, comblant le fossé primitif et faisant ouvrir, dans la maçonnerie de brique, des portes et fenêtres, aux linteaux joliment galbés. Le pont-levis devenu sans objet cède la place à une porte surbaissée sous une petite loggia polygonale d'inspiration flamande-espagnole, éclairée de trois fenêtres. L'aspect général du château reste dans son état primitif, avec ses quatre grosses tours cylindriques cantonnant le corps de logis et rappelant les nécessités de la féodalité, mais la Renaissance égaie cet ensemble et surtout rend la demeure plus confortable. Durant la seconde moitié du XVIe siècle, les travaux sont interrompus par les guerres de Religion.

Le château restera par la famille Le Pelletier, devenue de Martainville jusqu’en 1757. Le dernier de la lignée meurt cette année-là sans héritier direct. En 1757, le domaine passa, par héritage, à Geneviève-Antoinette Couture, puis aux Le Viguer, Fautereau, Sénarpont et Villers, toujours par héritage. Il restera habité jusqu’en 1870 par différentes familles par le biais des successions. C’est à partir de cette date pendant la guerre franco-prussienne que le château va connaître quelques ennuis. D’abord saccagé pendant la guerre, il sera ensuite laissé à l’abandon.

En 1905, le château de Martainville sera, pour la première fois de son histoire, mis en vente. Un négociant en bestiaux acquiert l'édifice et ses terres. Il est proche de raser le château qui a souffert d’un long abandon et de l’occupation prussienne quand l'État finalement sauve ce joyau certes alors très dégradé. La ruine est consolidée puis aménagée sauvant ainsi cette belle construction médiévale. Une restauration d'ampleur débute en 1925 menée par l'architecte Henri Gosselin qui s'efforce de restituer au site son éclat d'origine. Le défi est réussi. Un temps, il est envisagé que le château accueille un lycée agricole mais en 1962, sous l'égide du Département, un musée des Traditions et Arts normands est installé. Son aménagement est confié Daniel Lavallée, enseignant et spécialiste du "Vieux Rouen".

Le château de Martainville abrite donc aujourd'hui le Musée des Traditions et Arts Normands avec de riches collections, 28 salles retraçant la vie quotidienne en Normandie : une exceptionnelle collection de mobilier haut-normand retraçant l'évolution des styles du XVe au XIXe siècle, textiles et costumes normands, instruments de musique fabriqués en Normandie. L'ethnographie de la région de Haute-Normandie est présentée sous l'aspect d'intérieurs de fermes reconstitués avec meubles et objets de la vie quotidienne aux XVIII et XIXe siècles. Une collection agricole est présentée dans les communs du château. Tous les ans, une exposition retrace un aspect de la vie quotidienne des normands à travers les siècles.

Ce panorama ethnographique est désormais complété par un espace dédié aux instruments de musique. La visite du Musée des Traditions et Arts Normands permet de ce fait d'admirer en parallèle les intérieurs du château et comprend également le parc et les communs. Ce bel exemple de l'architecture de la Première Renaissance en Normandie, est toujours entouré de ses bâtiments annexes : colombier, charreterie, écuries, four à pain, puits fermé. La découverte de l'extérieur depuis les routes est libre et gratuite. La visite du musée est payante. Renseignez vous sur les horaires.

Martainville chateau de martainville musee des traditions et arts normands routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandieSur le plan architectural, le château de Martainville se présente comme un exemple de noble édifice civil de la fin du gothique, avec son logis en brique percé de baies encadrées de pierres, haut de trois niveaux, flanqué de tours rondes aux angles. En façade donnant à l'arrière, ouvrant sur des jardins de style Renaissance également rénovés, une tourelle d'escalier polygonale fait saillie. Les décors sculptés se révèlent remarquables. La grande originalité du Château de Martainville construit entre 1485 et 1495, réside dans son plan absolument symétrique, avec un ingénieux système de circulation qui permet d’obtenir une organisation claire du corps de logis.

Au rez-de-chaussée : les salles et les offices. Aux étages: toutes les pièces sont indépendantes les unes des autres. Mais si l’on ignore son origine, le plan du château répondait aux exigences de certains nobles du début du XVIe siècle de posséder un château de campagne susceptible de recevoir de nombreux convives, de disposer de chambres indépendantes les unes des autres et d’où il était possible de sortir et de rejoindre le vaste jardin d’agrément situé à proximité. Martainville aurait inspiré le plan de Chenonceau, construit par Thomas Bohier, général des Finances de Normandie.

En 2014, le château de Martainville a retrouvé ses jardins "à la française" dont la nouvelle composition florale vous fera découvrir de nombreuses variétés botaniques. Amateurs et passionnés seront attirés par l’architecture des jardins datant du XVème Siècle, et dont la composition a été repensée en 2014. La symétrie des jardins vous impressionnera dès votre arrivée, et de grandes allées symétriques vous offriront des perspectives étonnantes sur un domaine de plus de 25 hectares, avec le Château de Martainville comme point central.

Le tracé recomposé s’inspire des jardins de la Renaissance, avec comme volonté de les rendre actuels en faisant évoluer les variétés botaniques présentes sur tout le domaine. L’axe central très prononcé de ces jardins se renforce par la composition florale étudiée pour favoriser la biodiversité sur l’ensemble du parc. Les poiriers ainsi que les pommiers offrent un cadre stable et élégant aux jardins, dont la nature sauvage est quant à elle représentée en son centre par les vivaces et autres graminées qui procurent l’énergie de cet endroit. Explorez ce lieu riche en secret vous offrant une vue exceptionnelle sur le Château de Martainville.

Découverte de Martainville-Épreville

Sur le plan du patrimoine, après la découverte du Château de Martainville, il convient de mentionner l'église Notre-Dame-de-la-Paix de Martainville. L'église de Martainville-Épreville, consacrée le 1er octobre 1670 et dédiée sous le titre de Notre-Dame-de-la-Paix et de Saint-Joseph son époux, est un des rares exemples d'un ensemble cohérent et quasiment complet d'une église de l'époque de Louis XIV. Ce style fut, en effet, fort méprisé pendant tout le XIXème siècle et la première moitié du XXème, si bien que peu d'ensembles architecturaux et mobiliers ont été conservés. Une ancienne église existait sur cet emplacement avant le XVIIe siècle. 

Martainville epreville eglise notre dame de la paix routes touristiques de seine maritime guide touristique de la haute normandieEn 1666, Louis de Martainville entreprit de faire bâtir à ses frais l'église et le prebytère sur son fief. Bien sûr, les moines rappelèrent leurs prérogatives et tinrent à devenir propriétaires du terrain où l'édifice devait s'élever. Grâce à cette transaction, Louis de Martainville eut les honneurs de la nouvelle église. Les châtelains disposaient alors d'une entrée particulière percée dans le mur qui regarde le château.

A l'extérieur de l'église Notre-Dame-de-la-Paix, il faut remarquer les proportions de l'ensemble et noter le clocher rappelant les clochers à bulbe des églises allemandes. Le clocher domine la façade et son pignon d'entrée. Il est surmonté d'une couverture de dôme en ardoise à l'impériale. Ce clocher abrite trois cloches, dont deux provenant d'une ancienne cloche de 640 kilos et une d'une église désaffectée d'Épreville. Il subsiste les traces d'une "liste seigneuriale", bande de plâtre faisant le tour de l'église et marquée aux armes des châtelains, mise en place à l'occasion d'une inhumation. La façade occidentale est percée d'une niche habitée par Notre-Dame-de-la-Paix, située au dessus de la porte d'entrée. L'église est construite en silex taillé et chaînages de calcaire.

L'édifice à plan en croix latine à un vaisseau se terminant par un chevet polygonal. Des baies en plein cintre ponctuent les murs. L'ensemble est couvert d'une toiture en ardoise. À l'intérieur de l'église Notre-Dame-de-la-Paix, on découvre un décor riche : les panneaux sculptés de l'autel et de la chaire, les multiples statues en pierre placées sur les parois, les fonts baptismaux du XIIIe siècle, un chemin de croix en relief, une poutre de gloire finement travaillée, des retables du XVIe et XVIIe ainsi que deux plaques d'obit en marbre noir du XVIIe : l'une de l'abbé Dergny, curé lors de la consécration de l'église, l'autre de Louis de Martainville.

Dans la chapelle latérale de l'église Notre-Dame-de-la-Paix, une toile du XVIIIe siècle représente saint Jacques le Majeur ; les fonts baptismaux en pierre sont du XVIIe ; le retable est de 1670, il a été transformé dans sa partie basse pour enchâsser 9 panneaux de bois du XVIe : la Vierge, 4 apôtres et 4 sujets symboliques. Le maître autel, daté de 1666, est l'œuvre de Maseline, sculpteur rouennais. Il a été rapporté sous Napoléon III et appliqué contre l'ancien vitrail du sanctuaire, aujourd'hui disparu et sur l'emplacement de la sacristie primitive dont on retrouve la trace de la porte extérieure. Il est entouré de deux statues de bois du XVIIe : Saint Barthélémy avec son couteau et saint Augustin, et de deux reliquaires.

Les quatre vitraux du choeur représentent les quatre évangélistes en peinture sur verre. Ceux de la nef sont de la grisaille. En continuant le tour, on trouve un socle en pierre portant la date de la dédicace sur lequel se trouve une statue de la Sainte Vierge en pierre polychrome du XVIe siècle. En face de l'autel de la Vierge (1670), une toile armoriée du XVIIe représente la résurrection. A l'angle saillant qui la jouxte, un saint Evêque, probablement saint Ouen, statue de bois du XVIIe. Le vieux coq a été remplacé en 1982 par un coq en cuivre qui, selon la tradition, a visité les foyers de la commune avant d'être placé au sommet de l'église.

Sur Épreville-sur-Ry,, l'église est d'époque sensiblement identique (XVIIe siècle) et qui se trouve dédiée à saint-Ouen, une référence là encore à l'abbaye rouennaise, conserve en revanche des éléments antérieurs. C'est le cas de la cuve baptismale du XIIIe siècle, retravaillée néanmoins au XVIIe. A noter que Martainville-Épreville a vu naître le peintre et graveur François-Gabriel-Théodore Basset de Jolimont (1787-1854). Une étape à Martainville-Épreville séduira également les amateurs de randonnées...

Carnet pratique du château de Martainville

Les incontournables de Martainville

  • Les visites des villes et villages. 
  • Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
  • Panoramas
  • Gastronomie : n'oubliez pas votre panier gourmand.

Visites à Martainville

  • Musée des Traditions et Arts Normands : 
  1. Tout au long de l'année, le château et le musée accueillent des expositions temporaires, des ateliers, des conférences, des animations ou concerts. Martainville est devenu de fait un "incontournable" lors d'un séjour dans la région.
  2. Ouvert tous les jours sauf le mardi et les 1er janvier, 1er mai, 1er et 11 novembre, 25 décembre. Tarif : 5 euros. Renseignements au 02 35 23 44 70.

Activités à Martainville

  • Depuis le village, en partant de l'église ou du château, nombre de sentiers de randonnée se prêtent à la découverte des paysages préservés du territoire et des communes voisines (bocages, vergers, petites vallées, zones boisées).
  • Des itinéraires sécurisés de plus grande ampleur conduisent éventuellement marcheurs ou cyclistes vers la forêt domaniale de Lyons au sud-est ou vers Rouen et le val de Seine à l'ouest.
  • Cartes et renseignements auprès de l'office de tourisme intercommunal au 02 35 23 19 90.

Festivités à Martainville

  • Dans le village, encore, toujours côté culture, à noter que la salle des fête accueille régulièrement spectacles et manifestations associatives. Contacter la mairie au 02 35 23 40 16.
  • Le dernier dimanche de septembre, fête de la pomme dans le parc du château.

Marchés à visiter autour de Martainville

  • Darnetal : marché Dimanche (11km)
  • Fleury-sur-Andelle : marché Mardi (12km)
  • Bihorel : marché Mercredi, Vendredi & Samedi (12km)
  • Bonsecours : marché Vendredi (13km)
  • Buchy : marché Lundi (15km)
  • Sotteville-les-Rouen : marché Mardi, Jeudi, Samedi & Dimanche (16km)
  • Mont-Saint-Aignan : marché Mercredi (16km)
  • Saint-Etienne-du-Rouvray : marché Mercredi (16km)
  • Le Petit-Quevilly : marché Jeudi, Samedi & Dimanche(17km)
  • Rouen : marché Mardi, Vendredi, Samedi & Dimanche (17km)

Consulter nos pages : 

  • A voir à Martainville
  • A faire à Martainville
  • Parcours touristique à Martainville
  • Histoire de Martainville

Sites touristiques à visiter près de Martainville

  • Jardin Plume : Jardins remarquable (2km)
  • Jardins du château de Vandrimare : Jardins remarquable (10km)
  • Lyons-la-Foret : Plus beaux villages de France (14km)
  • Rouen : Villes d'art et histoire (14km)
  • Montville : Villes fleurie 4* (19km)
  • Parc zoologique de Clères : Zoo ou parc animalier (20km)
  • Clos du Coudray : Jardins remarquable (23km)
  • Abbaye Saint-Georges : Jardins remarquable (24km)
  • Abbaye Saint Georges de Boscherville (Saint-Martin-de-Boscherville) : Monuments Religieux (24km)
  • Jardin de Bellevue : Jardins remarquable (24km)
  • Forges-les-Eaux : Plus beaux détours de France (25km)
  • Parc du manoir de Villers : Jardins remarquable (27km)
  • Elbeuf : Villes d'art et histoire (28km)
  • Jardins de Bosmelet : Jardins remarquable (29km)
  • Réserve naturelle régionale des Larris et Tourbières de Saint-Pierre-es-Champs : Sites d'un grand beauté naturel (32km)
  • Abbaye de Jumièges (Jumieges) : Monuments Religieux (34km)
  • Abbaye Saint Germer de Fly (Saint-Germer-de-Fly) : Monuments Religieux (35km)
  • Les jardins du château de Saint-Just : Jardins remarquable (40km)
  • Saint-Gervais-Saint-Protais de Gisors (Gisors) : Monuments Religieux (40km)
  • Mureaumont : Villes fleurie 4* (40km)
  • Gerberoy : Plus beaux villages de France (41km)
  • Domaine du château d'Ambleville : Jardins remarquable (45km)
  • Jardins du château du Champ de Bataille : Jardins remarquable (45km)
  • Jardin du musée d’art américain : Jardins remarquable (46km)
  • Autretot : Villes fleurie 4* (46km)
  • Jardin de Claude Monet : Jardins remarquable (46km)
  • Jardin de Miromesnil : Jardins remarquable (46km)
  • Parc de Galleville : Jardins remarquable (47km)
  • Domaine de Villarceaux : Jardins remarquable (48km)
  • Abbaye de Bec-Hellouin : Monuments nationaux (49km)
  • Arboretum d'Harcourt : Jardins remarquable (49km)
  • La Roche-Guyon : Plus beaux villages de France (49km)
  • Parc du château de Digeon : Jardins remarquable (52km)
  • Parcs naturel régional du Vexin Francais (59km)
  • Saint-Valery-en-Caux : Villes fleurie 4* (61km)

Plus d'information

Pour vous rendre au château de Martainville

Nuageux

Ry

16 °C Nuageux

Min: 16 °C | Max: 17 °C | Vent: 22 kmh 10°

Le saviez-vous ?

N'oubliez pas !

Les lieux les plus enchanteurs sont souvent les plus vulnérables. L'affluence du tourisme pouvant fragiliser encore plus les lieux, veillez à en prendre soin et à ne laisser aucune trace de votre passage. Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter le droit de propriété et à la vie privée, respecter les panneaux signalétiques et consignes. 

  • Veillez à toujours respecter les biens et les personnes lors de votre passage et de ne pas pénétrer sur les terrains privés.
  • Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
  • Camping et Feux interdits (pas de barbecue) - La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
  • Veuillez ramasser vos déchets avant de partir. Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne. L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. ​Pensez boite à mégots.

Soyez vigilants et attentifs à tous ces petits gestes pour que nos petits et grands paradis le reste encore de nombreuses années et que les personnes qui passeront derrière nous en profitent tout autant.

Nos coups de cœur à Martainville

Hébergement :

Restauration :

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Date de dernière mise à jour : 23/03/2024