Route des monts de Flandre (59)

Votre balade commence dans la jolie petite ville typique des Flandres de Bailleul (km 0), entre Lille et Dunkerque. La cité de Bailleul serait née d'un rassemblement de plusieurs hameaux aux alentours du Xe siècle. Son développement suit celui de la région et des villes qui la composent, jusqu'au rattachement du territoire à la France en 1678. Presque entièrement détruite durant la Première Guerre Mondiale, le village a été reconstruit dans un mélange d’Art Déco et de Néo Flamand. Bailleul a un charme fou et de nombreuses surprises à découvrir.

Maintes fois détruite, Bailleul a quand même gardé des traces de son passé et conservé le caractère flamand de son architecture. Notamment l'hôtel de ville et son beffroi construits au XIIe siècle. Ensuite, dirigez-vous vers le village de Saint-Jans-Cappel (4 km), via la D10. Saint-Jans-Cappel fait partie du réseau Village Patrimoine, coordonné par les Pays de Flandre. La commune s’étale au pied du Mont-Noir (132 m) dans la vallée de la Cappel-Becque.

Saint-Jans-Cappel offre un paysage boisé à ses visiteurs. Lors de votre passage dans cette commune du coeur du Pays des Flandres, ne ratez pas tout ce que le patrimoine peut vous offrir : l'église Saint-Jean-Baptiste et sa tour du XVIe siècle bâtie en 1557, a été brûlée par les Gueux. Elle a été reconstruite depuis, le bâtiment actuel ayant trois nefs. La Chapelle Notre Dame de Bonsecours, la Grotte Notre-Dame de la Salette, le cimetière Militaire Anglais 14-18, la borne Vauthier situé au no 36 Route de Bailleul, la villa Marguerite Yourcenar et le musée Marguerite-Yourcenar. Un cimetière militaire est présent sur le territoire de la commune de Saint-Jans-Cappel, le Mont Noir Military...

Le mont Noir culmine à 152 m d'altitude dans les monts des Flandres, il tire son nom de la présence d'une forte concentration du pin noir dans le bois qui couvre ce relief. Le mont Noir constitue un ancien poste frontière, il est relié par un télésiège au mont Rouge (Rodeberg) en Belgique. C'est une expérience absolument unique que de planer au-dessus d'un tel paysage, avec les vignobles qui s'étendent sous vos pieds. Le mont Noir héberge depuis les années 1930, une belle et grande villa bourgeoise à l'emplacement du pavillon des gardiens du château de la grand-mère de Marguerite Yourcenar, Noémi Dufresne. Cette grande villa mêlant art déco et style néo-normand a été aménagée en un centre de résidence d'écrivains européens nommé Villa Marguerite-Yourcenar. 

En l'honneur de l'écrivaine qui siégea notamment à l'Académie française, un parc départemental Marguerite-Yourcenar, de huit hectares, a été créé.  Vers 1875, dans le parc Yourcenar la grotte Notre-Dame de la Salette est aménagée en chapelle. Elle construite en grès ferrugineux et poudingue de Cassel (galets arrondis de silex). 

Suivre la D10 jusqu'à Boeschèpe (9 km), le village fait parti du réseau "Villages de Flandre / Charmante dorpen". Bien que des traces d’activités datant de la préhistoire et de l’époque romaine y aient été découvertes, Boeschèpe serait une fondation des Francs au vie siècle. Emblématique du village, l’Ondankmeulen "Moulin de l’Ingratitude" est un moulin sur pivot. Le moulin de Boeschepe, érigé en en 1802 à la Motte-au-Bois, fut racheté en 1884 par Benoît Houvenaghel, meunier à Boeschepe. Il fut démonté et transporté au village pour remplacer l'ancien Ondankmeulen devenu vétuste. L'Ondankmeulen cessa toute activité le 1er janvier 1958.

Lieux emblématiques de ce territoire : les moulins. Les Flandres intérieures comptent de nombreux moulins à vent, dont certains se visitent encore. Pendant la seconde guerre mondiale, les moulins des alentours qui servaient souvent de poste d'observation, furent particulièrement visés par les belligérants et beaucoup disparurent. Des obus tombèrent également près de l'Ondankmeulen: on voit encore des traces d'éclats sur le pivot. Au pied du moulin, l’estaminet du Vierpot (pot à braise) témoigne du respect des traditions : dans une ambiance typique, vous pourrez y déguster ses « planches » flamandes.

A voir également l'église Saint-Martin des XVe et XVIe siècle, de type hallekerque (elle comporte trois nefs) ; fonts baptismaux en grès datant du XVe ou XVIe siècle. L’église Saint-Martin a été le théâtre de faits historiques importants : en 1562, le Boeschépois Ghylein Damman y fait le premier prêche public de la religion calviniste en France. C’est également là que se déroule, en 1906, le tragique épisode des Inventaires qui coûte la vie à Géry Ghysel. Le séchoir à houblon rappel la tradition de la culture du houblon. Poursuivre vers le Mont de Boeschèpe (10 km) avec ses 139 rn d'altitude. Ce site offre aux voyageurs d'infinies variations entre collines et plaines, entre bois et prairies, et de magnifiques panoramas qui se développent à l'infini vers la plaine de la Lys ou la plaine maritime.

Le Mont de Boeschèpe a attiré l’attention des hommes dès la préhistoire. Des fouilles entreprises en 1964 par l’abbé G. Tieghem révélèrent de nombreux silex taillés de l’époque néolithique. Au XIXème siècle, le Mont était parsemé de nombreuses petites chaumières construites à proximité des deux étroites routes de terre qui la desservaient. Ces deux voies étaient reliées entre elles par des petits chemins de traverse dont certains existent encore aujourd’hui. Ils permettaient aux habitants du sommet d’éviter le détour, à pied, par le plateau. En 1900, deux moulins à vent faisaient tourner leurs ailes sur le Mont de Boeschèpe. L’un d’eux, appelé Moulin Decanter, fut dynamité en 1918. En 1942, l’armée allemande y installa des batteries de D.C.A. et construisit un observatoire pour abriter les puissants projecteurs électriques nécessaires aux tirs de nuit. Cette tour attire aujourd’hui encore l’attention des promeneurs qui pensent être en présence d’une ruine de moulin.

Le Mont des Cats sera votre prochaine étape ( 11 km). En haut du Mont, on peut contempler la Flandre à perte de vue. Le Mont des Cats n’est pas le plus élevé (c’est son voisin le Mont Cassel avec 176 mètres), mais il s’élève tout de même à 164 mètres d’altitude. Si la consonance du nom peut faire penser aux “chats” (Katsberg en flamand), c’est davantage au peuple germain les cattes qui s’installèrent dans la région au Ve siècle que le petit village doit son nom. Une légende raconte que le Mont des Cats serait le ventre du géant Edouard, qui se serait jadis endormi après avoir englouti un village entier.

Au sommet du Mont des Cats, l’abbaye cistercienne est toujours active. Elle accueille une vingtaine de moines trappistes qui produisent un délicieux fromage et une excellente bière au milieu des bois. La première communauté religieuse s’implanta sur le Mont vers 1650, mais c’est 1826 pour que s’installèrent les premiers moines trappistes et que fut fondée l’abbaye du Mont des Cats. Au Mont des Cats, vous croisez des familles en goguette, des randonneurs amoureux de nature, des cyclistes courageux, des gourmands venus faire leurs achats, mais aussi des curieux venus visiter la chapelle de la passion ou des croyants qui participent à la messe dans l’église abbatiale.

Au pied du Mont des Cats et de son abbaye renommée se trouve Godewaersvelde, via la D69 (14 km). Un nom imprononçable pour un village où il fait bon s'arrêter. Godewaersvelde fait parti du réseau Villages de Flandre/ Charmante dorpen. Situé dans un environnement vallonné et verdoyant, ce village à proximité de la frontière, a laissé un patrimoine riche et diversifié : l'ancienne gare, halle à houblon, l’ancienne brasserie Saint-Eloi, dont la maison de maître et le bâtiment industriel existent encore dans le style architectural de l’époque... Le musée de la Vie Frontalière rend compte avec détails et éclats de cette vie intense et pleine d’anecdotes truculentes. Au centre du village l’église date de 1906, de style néogothique, elle posséde de nombreux objets mobiliers réalisés par Gustave Pattein (1849-1924).

Prendre la direction de Flêtre (19 km). Dans le cartulaire de l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer (804), Flêtre est appelé Flitrinium, et Fleternes dans une charte de 1085. Les fouilles archéologiques réalisées lors de la construction de la ligne TGV ont révélé l'existence de fosses, d'un réseau de fossés, de sépultures à incinérations et de céramiques de l'époque gallo-romaine, au lieu-dit Pissmeerschen. L'église Saint-Matthieu est une Hallekerque ou église-halle. Elle date probablement du XIVe siècle. Les nefs latérales datent du milieu du XVIIIe siècle alors que le clocher est inauguré en 1901. L'église fut le théâtre d'affrontements lors de sa vente en 1799. Elle fut rachetée par les paroissiens.

La reconstruction du château de Wignacourt est souvent attribuée à Jean Van Houtte entre 1364 et 1380. Le donjon a été édifié au XVe siècle. En 1532, la seigneurie de Flêtre est passée par mariage dans la famille de Wignacourt. En 1799, le château a été détruit, mais le donjon a été conservé, sa destruction s'étant révélée trop difficile. Au début du XIXe siècle, un industriel a racheté la propriété, construit une demeure à l'emplacement du château détruit, et converti le donjon en salle de réception, décoré de lambris de style Louis XV. De 1869 à 1872, un manoir néogothique a été construit vers le sud du donjon, qui conserve encore les dispositions générales et le décor original.

Votre parcours touristique se poursuit vers le charmant village de Terdeghem par la D933 (29 km). Terdeghem s’étire entre les contreforts du Mont des Récollets et Steenvoorde, sur l’Ey becque. Le village de Terdeghem fait parti du réseau transfrontalier "Villages de Flandre / Charmante dorpen". Ce village est réputé pour son caractère authentique et son riche patrimoine historique et culturel. 

Vers 1725, deux seigneurs avaient autorité sur Terdeghem : le seigneur de Montigny qui avait sa demeure dite du « grand » Château du XVIe siècle, château « Balloy » remanié au XVIIIe siècle  et démoli par ses propriétaires en 2015. Le seigneur de Beauffort avait lui sa demeure au « petit » Château, dit aussi le manoir, datant du XVIIe siècle. Le blason actuel de Terdeghem provient des armoiries de la famille de Beauffort. Le village abrite également le château Breda du XVIIIe siècle situé en haut de la rue Carnot, dans l'agglomération de Steenvoorde.

Admirez l'église Saint-Martin du XIIe, XVIe et XVIIIe siècles et les Chapelles du XVIIIe, XIXe et XXe siècles. Terdeghem possède plusieurs moulins : Le Moulin "Saint Arnoult" ou "Steenmeulen", ce moulin en briques produit encore de la farine à des fins pédagogiques. Celui-ci est complété par le musée rural du Steenmeulen de Terdeghem qui regroupe des machines anciennes toutes en parfait état de fonctionnement. Elles utilisent diverses formes d'énergie: cheval, vapeur, gaz pauvre, pétrole... témoignant de l'ingéniosité de l'homme. Une houblonnière reconstituée représente la vie et l'artisanat en Flandres au XIXe siècle. Le Moulin de la "Roome" du XVIIe siècl a été reconstruit en 1995. De nouveau en activité pour le tourisme, il produit de la farine à l'ancienne. Il est érigé le long de l'ancienne voie romaine d'où son nom, aujourd'hui devenu la départemental 948 qui va de Cassel à Steenvoorde. Le pivot et l'arbre moteur du moulin furent taillés dans un chêne de la forêt de Nieppe. 

Passez par le Mont des Récollets (31 km). Le nom « mont des Récollets » vient de la présence de l'ancien couvent des Récollets de Cassel, fondé en 1620. Ce couvent n'existe plus de nos jours. Jérôme de la Tour, seigneur d'Oostbriaerde et de Calverdans, l'un des seigneurs d'Hondeghem, fut un des bienfaiteurs du couvent des Récollets au XVIIe siècle. Puis dirigez-vous vers les jardins du Mont des Récollets (33 km), jardin maniériste "à la flamande", classé Remarquable. Sur 1,5 ha, sont présentés, notamment, un jardin de type Renaissance, un autre dit classique (XIXe) et un espace plus contemporain. Arbres d'essences très variées, massifs d'ifs et de buis sculptés (art topiaire), plantes vivaces, potager composent un paysage spectaculaire et coloré qui séduit les visiteurs et inspire l'imaginaire.

Arrêtez-vous au village de Cassel (35 km) pour découvrir une ville typiquement flamande, semblant, à bien des endroits, ne pas avoir connu de transformation depuis le moyen âge. Ancienne propriété des comtes de Flandre, la ville de Cassel se développe au Moyen Âge, notamment avec la construction d'un premier château dans le courant du Xe siècle. Maintes fois conquise, incendiée ou détruite, elle fut le théâtre de nombreuses batailles au fil des siècles, notamment entre Flamands et Français. Plusieurs monuments rendent hommage aux batailles de Cassel ou aux grands hommes de la ville, comme celui des Trois batailles, ou le monument Vandamme.

Flâner tranquillement dans les petites ruelles tortueuses pour découvrir la richesse patrimoniale de cette belle cité. Commencez par la collégiale Notre-Dame de la Crypte édifiée autour du Xe siècle. Maintes fois détruite, elle a été entièrement reconstruite sur ses anciennes fondations. Au fil des siècles, elle servit notamment d'écurie, de prison, ou encore d'hôpital. Érigée à la fin du XVIIe siècle, la chapelle des Jésuites fut cédée aux Pères récollets avant d'être confisquée lors de la Révolution française. Le musée départemental de Flandre abrite de magnifiques collections d'artistes flamands et accueille de grandes expositions chaque année. Il prend place dans l'ancienne châtellenie de Cassel, également appelée l'hôtel de la Noble Cour.

En déhambulant dans Cassel, vous pourrez découvrir plusieurs hôtels particuliers privés, à l'instar de ceux d'Halluin, de Mac Mahon, plus vieille demeure de la ville, de l'Hamer Houck, ou encore la Frégate, ancienne demeure du général Vandamme. Le moulin du Château, ou Kasteel Meulen, construit au XVIIIe siècle, est le dernier des 24 qu'hébergeait la commune de Cassel. La cité possède un très agréable jardin public qui domine toute les vallées de la Flandre.

Tout en haut du mont Cassel, au point culminant, à 176 m, découvrez une belle vue panoramique sur toute la plaine de Flandre, jusqu’à 80km à la ronde, ainsi que sur la commune de Cassel située un peu en contrebas. C'est le plus haut mont de la chaîne des Monts de Flandre. Au sommet, vous découvrirez deux tables d'orientation, un ancien moulin à vent récemment restauré (le dernier parmi la vingtaine sur le mont), un joli jardin public ainsi qu'un charmant estaminet, le T’Kasteelhof.

Le mont-Cassel a été de tout temps, une position stratégique de grande valeur. Les Morins et les Ménapiens en firent l'objet de luttes continuelles puis Jules César y construisit une citadelle pour abriter ses légions qui devaient garder le pays après l'avoir conquis. Sept voies romaines, dont il reste de nombreux vestiges, permettaient de relier le castellum aux places fortes voisines.  Le château fort qui fut édifié sur ses ruines, véritable rempart des différents régimes qui se succédèrent en Flandre, fut assiégé, pris ou repris douze fois, dévasté ou incendié neuf fois, démoli quatre fois, restauré cinq fois et bombardé deux fois.

Pour finir ce circuit touristique, empruntez la D26 pour vous rendre au Mont Watten (54 km).  Le Mont de Watten culmine les paysages de l’Audomarois du haut de ses 72 m. Elle offre ainsi un point de vue particulièrement panoramique sur le territoire. Le long de la route serpentant sur le Mont, un sentier permet de gravir la montagne en sécurité et de redescendre. Sur le mont de Watten, un riche patrimoine se dévoile au regard de tous dont une abbaye en ruines ainsi qu’un moulin du XVIIIe siècle restauré. L’ancienne abbaye de Watten est entourée par des fortifications en terre datant du XVIIe siècle, formant un ensemble remarquable. Des panneaux dispersés sur le site expliquent l’histoire de l’abbaye et les dates qui l’ont marquée.

Située sur le versant de ce petit mont, la ville de Watten s’est développée le long de l’Aa, fleuve canalisé depuis plusieurs siècles et frontière historique traversant le marais Audomarois. La présence de l’eau est encore fortement visible à Watten dans le tracé des ses rues issues d’anciens canaux. Le chemin de fer a ensuite permis le développement de l’industrie wattenaise. La Maison du tourisme de Watten propose plusieurs circuits qui permettent de découvrir le passé industriel de la ville, les chapelles de la commune, l’histoire des anciennes industries, mais aussi les sentiers forestiers et chemins agricoles…

Visites & Activités

• Saint-Jans-Cappel :

1. La fête des moissons : le dernier week-end d'août. On y découvre les métiers anciens liés à l'agriculture et les machines du temps passé. Les animations sont nombreuses : cueillette du houblon, battage du blé, culture du lin, du tabac...
2. Marché du terroir, animations folkloriques diverses.
3. Balades à partir de la commune : le sentier du Mont Noir (9,5 km),ainsi que le Sentier des Jacinthes.

• Mont Noir : 

1. Chaque été, le parc départemental Marguerite-Yourcenar accueille le dimanche après-midi des spectacles de plein air dans le cadre de l'opération les beaux dimanches du mont Noir.

• Boeschèpe :

1. La fête à l'ancienne : le 1er dimanche d'août. Cette fête a la particularité de proposer une brocante réservée aux objets d'avant 1950. L'après-midi, on peut assister à une reconstitution costumée d'une scène de la vie du temps passé.

• Godewaersvelde :

1. Depuis le centre du village, plusieurs circuits peuvent être pratiqués à la fois à pied, en V.T.T. et à cheval. Ces circuits vous emmèneront tour à tour à proximité de la frontière belge, autour et sur les Monts de Flandre.

• Jardins du Mont des Récollets :

1. Ouvert du 1er avril au 30 septembre du jeudi au dimanche. Visite libre ou guidée. Tarif : 7€ par personne - 4€ pour les 10-15 ans - Gratuit pour les moins de 10 ans. Tél. : 06 07 84 77 50 - jardindumontdesrecollets@gmail.com. Adresse : 1936 route de Steenvoorde - Cassel.

• Cassel :

1. Musée départemental de Flandre : il abrite de magnifiques collections d'artistes flamands et accueille de grandes expositions chaque année.
2. Des cartes de randos sont proposées à la vente à l'Office de Tourisme
3. Un marché de Noël est également organisé le dernier week-end de novembre.
4. Début juin, Cassel cornemuses est l'occasion d'assister à des concerts, des bals folks, des brocantes et différentes animations.
5. La fête du Moulin a lieu chaque année le 14 juillet.
6. assel accueille également un motocross chaque lundi de Pentecôte.
7. A ne pas manquer, le carnaval du lundi de Pâques qui démarre dès 6h avec le réveil en tambours et grosses caisse puis la sortie des géants Reuze Papa et Reuze Maman. Journée classée au patrimoine immatériel de l'UNESCO.

Les incontournables de cette route touristique

• Les visites des villes et villages.
• Circuits de randonnées pédestres et cyclotouristiques.
• Gastronomie : n'oubliez pas votre panier gourmand et les pauses dans les estaminets.

Plus d'information

• Mairie de Saint-Jans-Cappel - Chemin Haut - 59 270 Saint-Jans-Cappel - 03 28 50 38 50 - Site internet
• Mairie de Boeschèpe - 97 rue de la Mairie - 59 299 Boeschèpe - 03 28 42 50 24 - Site internet
• Mairie de Cassel - 23 Grand Place - 59670 Cassel - Tél. 03 28 42 40 13 - Site internet
• Beffrois : site internet
• Plus beaux détours : site internet
• Espaces fortifiés Haut-de-France : site internet
• Sites Vauban : site internet
• Coeur de Flandre : site internet
• Côte d'Opale : site internet
• Nord Escapade : site internet
• Côte d'Opale : site internet
• Tourisme en Hauts-de-France : site internet