Histoire de la Garde-Freinet (83)
Perché à 400 m d’altitude au cœur du Massif des Maures, La Garde-Freinet, située dans le Var, est un vieux village authentique, provençal, situé au cœur du Massif des Maures, à deux pas du Golfe de Saint-Tropez. Le village est entouré d'une nature magnifique et préservée qui invite à des promenades et randonnées avec des vues sublimes sur les Maures jusqu'aux côtes de la Méditerranée. La Garde-Freinet dévoile à ceux qui s’y arrêtent une histoire riche et fascinante.
Loin d’être un simple village-balcon, La Garde-Freinet est le témoin d’une histoire riche, façonnée par les seigneurs médiévaux, les guerres de Provence et la vie rurale. Petite commune aux allures de village de pêcheurs et forteresse oubliée, son patrimoine témoigne de multiples époques qui se chevauchent, de l’Antiquité à nos jours.
Cet article retrace le parcours du castrum de La Garde-Freinet, de sa fondation au XIIᵉ siècle jusqu’à sa renaissance patrimoniale et touristique. Ce récit est l’occasion de plonger dans le passé et de redécouvrir un lieu où tradition et modernité se rencontrent harmonieusement.
Histoire de la Garde-Freinet
Des racines anciennes : Préhistoire
- Sépultures chalcolithiques dans la Baume des Maures.
- Caverne au pied de la colline du château.
Les prémices antiques et romaines !
Dès l’Antiquité, la région attire les premières implantations grâce à sa position stratégique le long de la Méditerranée.
Les premières traces d’implantation sur le territoire de la Garde-Freinet remontent à l’époque romaine, lorsque la région était déjà séduisante pour ses richesses naturelles et sa proximité avec la mer Méditerranée. Les vestiges archéologiques témoignent d’une présence romaine qui a posé les bases d’un peuplement durable, mettant en valeur le potentiel économique et culturel du territoire. Vestiges gallo-romains à la Mourre et Saint-Clément. Passage d’une voie romaine...
La Provence, comme l'Empire romain, était devenue chrétienne. La tradition veut que la Provence ait été évangélisée par les disciples mêmes du Christ. Le ralliement fut officiel en 313, sous l'Empereur Constantin. Nous savons peu de choses sur l'organisation religieuse de l'époque. Toulon semble avoir été le chef-lieu diocésain, et La Garde eut sûrement sa chapelle dans une partie haute de la vieille ville. Le christianisme contribua à pacifier les esprits et fut une des causes spirituelles de la paix romaine.
Les peuplades barbares, attirées par les richesses accumulées, par la douceur de notre climat, déferlèrent sur la Provence. Ce furent d'abord les Wisigoths, en 492 ou 493, qui pillèrent les " villae " et les villes voisines, puis les Ostrogoths, avec Théodoric qui se civilisèrent au contact des populations, et une période de semi-prospérité réapparut. C'est au moment de ces invasions qu'on plaça une " garde " en haut du village pour prévenir de l 'arrivée des troupes ennemies. D'où le nom de ce village.
Une tour d'observation existait, qui fut détruite au moment de la construction du château seigneurial autour duquel vinrent se blottir les maisons. A la mort de Théodoric (526), les Francs qui avaient, depuis 447, envahi la Gaule, s'emparèrent de la Provence, achevant ainsi sa conquête (536). La Garde fit partie de la Provence Austrasienne dont le roi fut Sigibert, époux de Brunehaut (561). C'est sous le règne de Sigibert que passe dans cette cité, venant des environs de Rome, un homme d'une trentaine d'années, nommé Maur, et qui devint Saint Maur, patron de cette commune.
Enracinement médiéval
Rapidement, le site gagne en importance grâce à sa position stratégique. Profitant de la rivalité entre les royaumes de Neustrie et d'Austrasie, la Provence va se détacher et se rendre quasi indépendante. Mais un autre peuple submergeait peu à peu le sud de la France : les sarazins, fanatisés par Mahomet, après avoir occupé l'Espagne, déferlaient de chaque côté des Pyrénées.
Vaincus à Poitiers en 732, les arabes se replièrent vers le sud. Le duc de Provence, un certain Mauronte s'allia à eux pour lutter contre Charles Martel, venu en Provence en 733. La lutte fut sanglante. Toulon et La Garde furent ravagés sauvagement. Les arabes, battus, se réfugièrent dans les Maures et de là ils firent des razzias jusqu'en 973, date de la prise du Fort Fraixinet (La Garde-Freinet). Dans cette lutte, le pays s'organisa. Des tours de guet furent construites sur les hauts lieux.
En 889, un raid arabe s'emparent de La Garde-Frainet et leur « garnison durant près d'un siècle soumet les populations voisines à des razzias continuelles et menace les routes qui, à travers les cols des Alpes, vont de France en Italie ». Ce lieu est aussi évoqué sous d'autres patronymes dont celui de Fraxinet ou Fraxinetum. Les Arabes lui donne le nom Jabal al-Qilal, « montagne des jarres », car ils y auraient trouvé les restes d’une industrie gallo-romaine. Traditionnellement, on localise le lieu d'implantation des Sarrasins en Provence occidentale dans les années 890 à la Garde-Freinet.
Philippe Sénac, dans son livre : "Histoire de l'Islam et des musulmans en France du Moyen-Age à nos jours", s’appuie sur les sources arabes et les données de l’archéologie. Il montre combien le Fraxinet, ne constituait pas un simple repère de brigands mais un emplacement stratégique pour les musulmans qui semblaient vouloir "entraver les relations entre les cités marchandes italiennes et le reste de la chrétienté méridionale".
Lors des raids des Hongrois de 942, Hugues d'Arles, roi d'Italie, s'engage à mener une campagne militaire contre les Arabes, à cause de leurs attaques contre son royaume et la Provence. La Bataille de La Garde-Frainet se déroule semble-t-il en mai 942 et voit les musulmans battus mais non détruits.
Il faudra une véritable croisade prêchée à la suite de la capture de Saint Mayeul, abbé de Cluny, par les Maures, pour que la Provence se soulève ayant à sa tête Guillaume 1er. Le comte Guillaume 1er, comte de Provence prend la forteresse de Fraxinetum (Fort Fraxinet). L'histoire rapporte que c'est le comte de Provence Guillaume Ier dit le Libérateur qui chasse les Sarrasins en 973 après sa victoire à la bataille de Tourtour.
La période médiévale et les fortifications
Face aux fréquentes incursions et invasions, le Moyen Âge marque un tournant avec l’édification de remparts et de tours de défense. La nécessité de protéger ce territoire se fait sentir, ainsi, les fortifications s’élèvent dans le paysage, rappelant l’importance militaire et commerciale du site. Ces murailles et tours, bien que marquées par le temps, invitent encore aujourd’hui à l’émerveillement et à la méditation sur un passé tumultueux. Ces structures ne sont pas seulement des témoins de conflits, elles symbolisent également l’importance de protéger une communauté naissante qui prenait de l’ampleur dans une région à la croisée des routes commerciales. La Garde, admirablement placée et disposant de son rocher volcanique, fut une des principales défenses, ainsi qu'une des pièces maîtresses du dispositif d'alerte.
Les attaques barbaresques et la protection du littoral
Dès le Moyen Âge, la région côtière était souvent la cible des incursions de pirates barbaresques venus d'Afrique du Nord. Il ne s'agit plus de soldats mais de pirates. On ne parle plus d'Arabes mais de Sarrasins, terme générique à l'étymologie obscure, groupant des chefs arabes, des Berbères, des renégats chrétiens, des Andalous, des Majorquins et des aventuriers de toute espèce. La razzia des campagnes, des villes mal défendues ou des monastères, la capture de prisonniers revendus comme esclaves ou rançonnés à prix d'or deviennent les véritables objectifs de raids qui sont des incursions maritimes semant la désolation sur nos côtes languedociennes et provençales.
Ces attaques, motivées par le commerce illicite et la recherche de richesses, ont poussé la communauté à repenser sa défense. Pour parer aux assauts, des structures défensives ont été érigées avec soin. Ces constructions servaient de vigies, permettant de détecter l'arrivée des corsaires à l’horizon et d'organiser une riposte rapide. La menace constante obligeait la population à adopter un mode de vie très orienté vers la vigilance et la préparation militaire, une dynamique qui se reflète encore aujourd’hui dans le patrimoine du village.
Les premiers seigneurs, vassaux des comtes de Provence, construisirent une tour de guet en pierre locale, implantée sur une colline stratégique pour surveiller la route côtière reliant Marseille à l’Italie, afin de prévenir les incursions sarrasines et de contrôler les péages. Du haut du rocher, on se communiquait des signaux depuis une tour construite au quartier des Tourraches où existait une tour d'origine romaine. C’est dans ce contexte que naît La Garde-Freinet, initialement nommée « Castrim de Guardia ». Cette situation lui valut d'être de nombreuses fois assailli et détruit. Malgré ces précautions, le village fut ravagé plusieurs fois en cent ans.
En 1026, La Garde-Freinet fait partie du Fief de Saint-Fulcher avant d’être la seigneurie des Pontevès. Délaissant le site perché du Fort Freinet, où plusieurs habitats semblent s’être regroupés à la fin du XIIème siècle, la population s’installe progressivement sur les pentes plus douces du col de la Garde à partir de la fin du XIIIème siècle.
Les rivalités seigneuriales et les conflits internes
Au début du XIIe siècle, la Provence se fragmentait entre plusieurs fiefs. Les rivalités seigneuriales ont profondément marqué l'histoire de Garde-Freinet, influençant tant son urbanisme que son identité culturelle. Dès l'époque médiévale, la lutte pour le contrôle du territoire incitait les seigneurs à renforcer leur emprise par des moyens militaires, ce qui se traduisait par la construction de fortifications et de structures défensives adaptées à un contexte conflictuel.
Au cœur du Moyen Âge, La Garde-Freinet ne fut pas uniquement exposée aux dangers extérieurs. Les rivalités entre seigneuries locales pouvaient également dégénérer en confrontations armées. Les tensions entre puissances locales ont parfois débouché sur des escarmouches ou des manœuvres défensives destinées à sécuriser des positions stratégiques. La nécessité de faire face à ces défis internes a contribué à la construction et à l’amélioration des fortifications, confirmant la place du village comme une zone à la fois stratégique et disputée dans la région.
Les démêlés avec la voisine : La Valette
En 1261, Toulon était chef-lieu de bailliage avec La Garde - Tourris - La Valette - Le Revest comme composants. Au passage, nous apprenons, par le cartulaire du bailliage de Saint-Maximin (1246) que La Garde devait aux comptes de Provence deux soldats dont un avec un cheval armé, l'autre avec un cheval non armé. Toulon, à la même époque, n'en devait qu'un. La Garde essaya d'être chef-lieu de bailliage car elle se jugeait plus importante que sa voisine. Mais La Valette s'y opposa.
Au XIVe, les troupes de Raymond de Turenne ravagent le secteur.
En 1437 ; le roi René fit donation à Elion de Glandevès, seigneur de La Garde, du château de La Valette et du " deffend " de Baudouvin. Cela n'alla pas sans irriter Antoine Raynaudi, vicaire général, prieur et coseigneur de La Valette.
En 1449, une transaction est signée entre les deux seigneurs, le premier gardant la haute justice et le droit de régale et abandonnant au second la mixte, impère, moyenne et basse justice et la moûture du blé. Cet accord à l'amiable ne fut autorisé ni par le roi, ni par le pape. Les Valettois en profitèrent pour ne plus rien verser au seigneur Gardéen.
En 1560, Gaspard de Thomas (de Sainte Marguerite, de La Garde, de La Valette et de Baudouvin) exige les impôts qui lui sont dus. Une suite de procès va naître de cet état de choses. Les Valettois demandent le rachat des impôts (1578).
Le château La Garde-Freinet est rasé sur ordre du maréchal de la Valette en 1589.
Après différents arrêtés, cassés et rétablis, les Valettois rachètent la haute justice pour 11 mois 8 jours, pour la somme de 18 000 livres (26 mai 1614). Le 6 novembre 1614, les Valettois rachètent la moyenne et basse justice. Enfin le 20 novembre 1616, ils rachètent les trois semaines de haute justice qui restaient au Seigneur de La Garde pour la somme de 1 225 livres. Les Valettois, ainsi, avaient payé leurs libertés.
La Garde étant fort endettée, La Valette lui racheta de nombreux terrains lui appartenant pour 24 000 livres et les limites entre les deux communes furent fixées définitivement (16 mars 1633) A partir de cette date, les seigneurs de La Garde ne prétendirent plus rien sur La Valette et s'ils portent encore le titre de " Seigneur de La Valette " , bientôt même, ils l'abandonnent pour n'être plus que " sieurs de La Valette " .
Les rivalités seigneuriales ont joué un rôle crucial dans le développement de Garde-Freinet en instaurant une architecture défensive imposante, en modulant l'organisation territoriale et en cultivant un sentiment d'appartenance et de résilience qui traverse les époques. Ce croisement entre conflit et construction a permis à la commune de se doter d'un caractère unique, où chaque pierre, chaque fortification raconte une histoire de pouvoir et de survie.
Les fortifications de Garde-Freinet se sont transformées au gré des siècles pour s’adapter aux évolutions des stratégies militaires, aux innovations technologiques et aux besoins socio-économiques de la région.
Avec l’avènement de la Renaissance et l’introduction de l’artillerie, les fortifications durent évoluer pour faire face à une nouvelle réalité stratégique. L'arrivée des canons impose une révision des techniques de défense. Les constructions sont améliorées pour résister aux tirs des projectiles avec le renforcement des Murs. Des ajustements sont réalisés dans la configuration des tours et bastions pour mieux disperser l’impact des explosions. Les portails et fossés sont repensés afin d’optimiser la défense tout en permettant une meilleure mobilité lors des repliements ou contre-attaques.
La période napoléonienne et la modernisation des dispositifs défensifs
Bien que Garde-Freinet n’ait pas été le théâtre d’un grand affrontement lors des guerres napoléoniennes, cette ère a marqué des changements significatifs dans la stratégie militaire en France, y compris dans le Var. La mobilisation générale et la restructuration de l’armée ont impliqué une réévaluation de la défense des littoraux. Même si les combats majeurs se déroulaient ailleurs, la région bénéficiait de travaux d’amélioration des infrastructures défensives héritées du passé. Certaines adaptations réalisées durant cette période témoignent de l’effort pour moderniser les anciennes protections, fusionnant tradition et innovation dans une perspective de défense renforcée du territoire.
Epoque contemporaine
L'industrie du bouchon se développe au XIXe siècle avec près de 700 bouchonniers grâce à la forêt de chênes-liège. À cette époque, la production de marrons et de magnans (vers à soie) est également bien développée. Invention des Patiences Fraixinoises, petits biscuits ronds, en 1880. En 1900, l'abbé Mathieu dresse la croix des Maures (altitude 437 m) qui sera restaurée en 1978 car très endommagée. Le Christ pesait 175 kg. Consacrée le 3 mai 1900 (jour de la sainte Croix et de Saint Clément, patron du village), la Croix et son effigie du Christ sont l’un des emblèmes du village qui s’étale à ses pieds. Haute de 6 mètres, on dit que son commanditaire l’abbé Mathieu l’aurait placée exprès dans l’axe de la place Neuve. Il répondait ainsi au climat anticlérical de l’époque, et visait plus particulièrement le propriétaire athée de la plus imposante maison du village.
Grand déclin dans les années 1960 lié à un exode massif provoqué par la crise de l’activité bouchonnière.
Les vestiges historiques et fortifications médiévales
La Garde-Freinet est un véritable musée à ciel ouvert, où l'histoire se conjugue avec la douceur de vivre méditerranéenne. Dès votre arrivée, vous serez attiré par les remparts, tours de guet et autres structures défensives qui témoignent des temps anciens. Construites pour repousser les attaques, notamment celles des pirates barbaresques et pour affirmer le pouvoir des seigneuries locales, ces fortifications offrent aujourd'hui aux visiteurs un aperçu précieux d'une époque où chaque pierre racontait une lutte pour la survie. Ces vestiges se fondent harmonieusement dans le tissu urbain, révélant les strates de l'histoire vécues par la commune.
Le cœur historique de la commune de La Garde-Freinet se dévoile à travers des ruelles étroites et pittoresques, bordées de maisons en pierre et ponctuées de petits trésors architecturaux. Chaque recoin du village semble raconter une histoire, renforçant le charme authentique de Garde-Freinet. Cette architecture traditionnelle, bien entretenue et restaurée, invite à la découverte d'un patrimoine bâti qui évolue au rythme des siècles.
Au-delà du patrimoine bâti, la Garde-Freinet offre également des paysages naturels d'exception. Les sentiers de randonnée longeant la côte et les points de vue dégagés sur la Méditerranée permettent aux visiteurs de profiter d'une immersion totale dans la nature provençale. Ces espaces de tranquillité apportent une dimension sensorielle unique à l'expérience touristique, où l'histoire et la nature se rencontrent.
De plus, le dynamisme culturel de la commune transparaît à travers ses festivals, expositions et marchés locaux. Ces événements, organisés tout au long de l'année, célèbrent le patrimoine vivant de Garde-Freinet et offrent aux touristes l'opportunité de partager des moments conviviaux avec les habitants. Que ce soit par la musique, l'artisanat ou la gastronomie, ces manifestations enrichissent votre visite en révélant l'âme contemporaine d'un territoire profondément ancré dans son histoire.
En résumé, la Garde-Freinet vous propose un patrimoine touristique riche et diversifié, alliant héritage médiéval, tradition maritime, charme architectural et beauté naturelle. Cette mosaïque d'éléments historiques et culturels invite à un véritable voyage dans le temps, où chaque visiteur peut trouver un angle d'approche qui lui ressemble. Ce voyage à travers les siècles nous rappelle combien notre patrimoine est précieux et comment chaque génération contribue à sa perpétuation. Pour quiconque désire ressentir l’âme de la Provence, une escapade à la Garde-Freinet offre l’occasion idéale de redécouvrir l’alliance subtile entre héritage et modernité.
Envie d’en savoir plus ? Pourquoi ne pas prolonger cette lecture en explorant les récits des habitants locaux ou en vous laissant porter par une balade sur les sentiers historiques de la commune ? Chaque coin de rue, chaque pierre a encore tant à raconter...
Nos coups de coeur dans le Var
Hébergement :
Restauration :
Les dernières news touristiques
N'oubliez pas !
Par respect pour les habitants et l'environnement, merci de respecter les panneaux signalétiques et consignes. Merci de respecter le droit de propriété et de ne pas pénétrer sur les terrains privés :
- Observez le code de la route en tous lieux et en toutes circonstances, et soyez courtois avec les autres usagers que vous pourrez croiser sur votre chemin.
- Camping et Feux interdits (pas de barbecue)
- La nature est fragile et des chutes de pierres sont parfois fréquentes.
- Veuillez ramasser vos déchets avant de partir.
- Plus que les sacs plastiques ou les pailles, ce sont les mégots de cigarettes qui pollueraient le plus les océans. les filtres à cigarettes se dégradent très lentement. Deux ans en moyenne.
- L'un des "petits gestes élémentaires" à accomplir : ne plus jeter ses mégots par terre. Pensez boite à mégots !
Préparez vos vacances dans le Var avec nos partenaires
Trouver un séjour dans le Var avec nos partenaires
-
Les Heures Claires Sainte-Maxime (Var-83)
Dans le Golfe de Saint Tropez, Sainte Maxime se dresse bâtie en plein midi et abritée des vents par...350,00€ TTC
Provence-Alpes-Côte d'Azur tourisme Var visites Histoire de la Provence-Alpes-Côte d'Azur
Ajouter un commentaire